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Sondage

Le sondage ci-dessous a été réalisé auprès de 100 personnes interrogées de manière aléatoire et volontaire. Celles-ci y ont répondu par l'intermédiaire d'un mail envoyé aux étudiants de première année d'étude d'ingénieur à ESIEE Paris, promotion 2024, ainsi qu'à des parents de l'équipe. Il s'agit donc d'un faible échantillon de la population, toutefois, il nous permet d'avoir quelques informations sur l'opinion publique autour de notre controverse sur l'hyperandrogénie dans l'athlétisme.

Cette première question a pour vocation de dévoiler la connaissance plus ou moins importante de l'hyperandrogénie par la population. Étant donné les résultats obtenus, on en conclut qu'elle n'est pas bien connue de tous, ici seulement de la moitié des personnes interrogées.

Cette seconde question a pour vocation de nous indiquer la diffusion de la nouvelle règlementation dans la population. D'après les résultats, on en déduit que la majorité, ici 2 personnes sur 3 interrogées, ne connaissait pas la règlementation à l'origine de notre controverse.

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Nous avons déduit des données ci-dessus que la population interrogée comportait une portion élevée de personnes mal informées, avant de réaliser le sondage, sur la règlementation controversée de notre sujet, quand bien même certains avaient connaissance de l'hyperandrogénie. De ce fait, notre controverse ne semble pas tellement toucher le grand public, mais seulement les professionnels de l'athlétisme.

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Nous avons ensuite posé cette question pour prendre la température de l'opinion publique, du moins avoir une idée de la réaction des gens face à la règlementation. Nous avons alors obtenu les résultats ci-contre, qui montrent que la moitié des personnes interrogées se positionnent contre la règlementation, tandis que la grande majorité des personnes restantes se dit hésitante, et enfin une minorité est en faveur de la restriction.

La question ci-contre a, quant à elle, montré que, quelque soit la position que prennent les personnes interrogées face à notre controverse, une très faible minorité, à raison ici de 2 personnes, agit pour ou contre la règlementation. Ce point appuie donc une nouvelle fois l'ignorance du sujet par la plupart de la population, notamment celles et ceux qui ne sont pas impliqués dans le milieu de l'athlétisme. Aussi, ces actions réalisées sont le plus souvent des gestes de soutien envers les athlètes hyperandrogènes.

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Nous avons déduit des données ci-dessus que la population interrogée, quand bien même en dehors du milieu de l'athlétisme, se positionnait à hauteur de 50% contre la règlementation, les autres étant majoritairement hésitants. De plus, on remarque que cette population ne se sent pas concernée puisque seule une très faible minorité s'investit pour soutenir ou lutter contre l'une des positions.

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Les questions suivantes ont été posées pour vérifier l'appartenance de la population interrogée au milieu sportif, voire au milieu de l'athlétisme plus précisément. Les réponses montrent qu'1 personne sur 3 ne pratique pas un sport régulièrement (soit une fois par semaine), tandis qu'à peine 1 personne sur 10 fait de l'athlétisme.

Outre la pratique, nous avons ici voulu déterminer le suivi des évènements d'athlétisme par l'échantillon. Il s'est ainsi avéré qu'1 personne sur 4 ne s'y intéresse pas du tout, alors que presque 1 personne sur 3 s'y intéresse beaucoup. 

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Nous avons déduit de ces dernières données que la population interrogée était très diversifiée. En effet, le fait que les personnes pratiquant l'athlétisme soient en minorité explique le peu d'actions réalisées observé dans une question précédente, tout comme la diversité du suivi des évènements d'athlétisme explique la diversité des avis face à la règlementation et surtout la présence d'une grande proportion de personnes "hésitantes".

Enfin, les arguments donnés par les diverses personnes interrogées, quelque soit leur opinion, sont assez récurrents et reprennent parfaitement ceux annoncés par les différents acteurs de notre controverse. En effet, ceux qui se positionnent contre la règlementation protestent contre la discrimination faite aux femmes hyperandrogènes, qui n'ont pas choisi leur situation, et donc une injustice pour ces athlètes, qui restent malgré tout des femmes. Au contraire, ceux qui se positionnent en faveur de la règlementation clament l'équité des athlètes en supprimant le "dopage naturel" que l'hyperandrogénie procure à ces athlètes.

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